vos commentaires - Jean Baurin

Cet espace est le vôtre, pour partager votre émotion, votre ressenti à la lecture d'un ou plusieurs poèmes, ou simplement me faire part de vos remarques, commentaires ou suggestions.

Écrire un commentaire

6 commentaires

#1 lundi 21 janvier 2013 - 17:57 - Martine Gengoux a dit :

«et cætera»

... J'ai aimé cette musique des mots que tu orchestres visiblement avec beaucoup de plaisir. Elle donne son rythme particulier à chacune de ces petites touches de vie écrites tout en visibilité ...

Répondre

#2 lundi 12 juillet 2004 - 18:03 - Myriam Jean a dit :

«vers de gris» et «la diagonale du crabe»

Au sujet des poèmes mis en musiques et interprétés par Vadim Piankov ... si tu savais comme les gens qui sont venus écouter Vadim au "Théatre de 10 Heure" ont aimé tes poèmes!

Répondre

#3 dimanche 15 décembre 2002 - 18:17 - Anne-Michèle Crémer a dit :

C'est comme une parenthèse, un moment de plaisir intense dans l'émotion des mots. Jean Baurin manie le verbe comme on traverse la vie, en suivant la diagonale du crabe. Il est tour à tour tendre, mélancolique ou drôle, mais toujours lucide. Il peut philosopher sur l'inanité de l'existence ou s'attendrir devant une jeune femme qui téléphone sur son GSM dans une station de métro. Lire ce recueil, c'est faire une pause, oublier pour quelques instants le stress du quotidien.

Répondre

#4 mardi 18 juin 2002 - 18:45 - Nathalie Lescop-Boeswillwald a dit :

Cet ouvrage est d'une très belle présentation; les illustrations de Christian De Leener "font corps" avec l'écrit superbement.
D'une écriture contemporaine,simple, mêlant adroitement méthaphores et jeux de mots, ce recueil possède un joli souffle à dominante érotique. Le verbe s'annonce charnel en de délicieuses images.
C'est là un émouvant ensemble de poèmes,puzzle rythmé, sensible ... du vécu humain!

Répondre

#5 lundi 11 mars 2002 - 18:36 - Xavier Van Laethem a dit :

«vers de gris» et «la diagonale du crabe»>

J'ai beaucoup apprécié vos deux livres. Je les ai, après les avoir lus (2x!), classés
dans ma bibliothèque à côté d'un autre bouquin qui ne m'a jamais quitté depuis 1950; oui, bien sûr : "Paroles de Prévert"
La lecture de vos poèmes m'a procuré la même jubilation! Et, chose remarquable, s'il y a manifestement cousinage, il n'y a jamais imitation.
Merci du plaisir rare que m'ont apporté vos oeuvres.

Répondre

#6 mercredi 19 décembre 2001 - 22:16 - Bernard Gilson a dit :

Pour Jean Baurin, l'écriture représente un espace infini de liberté, l'intime et l'ultime refuge, une tentative désespérée de combattre l'oubli, de vaincre l'éphémère. Tendre ou passionné, parfois ironique,souvent désabusé mais toujours lucide et d'une grande sincérité, il nous offre ainsi quelques tranches de viequasiment mises en images - on serait tenté de dire en musique - par la magie des rimes ou d'étonnants jeux de mots. Il a trouvé en Christian De Leener, le talentueux peintre de tous les éblouissements, le complice idéal qui a su rendre admirablement le climat si particulier, teinté d'érotisme, de ces textes poétiques
résolument modernes.

Répondre